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Jeffrey Dawe est un Analyste de vidéo judiciaire. Cette profession, relativement nouvelle et en pleine croissance, a des origines qui remontent au 19e siècle quand on se servait des éclaboussures de sang pour résoudre des crimes. De nos jours, le tout est bien plus scientifique et rigoureux.

Xpera est une des seules sociétés fermées, ne relevant pas de la police, qui est équipée pour pratiquer la science judiciaire et présenter des preuves qui sont admissibles devant un tribunal. Jeffrey Dawe est une des rares personnes formées dans l’art et la science de celle-ci.

Jeffrey a débuté en Loi et sécurité et a obtenu un certificat d’études supérieures en Application de la loi et enquêtes avancées du Collège de Durham. Il a toujours eu un intérêt pour les ordinateurs et a trouvé sa niche lorsqu’il s’est joint à l’équipe d’Xpera à titre de Technicien en média en 2015

Chez Xpera, Jeffrey a appris davantage sur les techniques d’enquêtes. Il a reçu une formation en technologie judiciaire et a obtenu les certifications permettant l’admissibilité de son travail devant un tribunal. « L’éducation et le changement sont constants. », dit-il. Le mois dernier, Jeffrey a passé un examen auprès de l’association internationale des techniciens d’électronique (Electronics Technicians Association, International) et est maintenant certifié en tant qu’Analyste audio-vidéo judiciaire (Audio Video Forensic Analyst). Il est parmi les premières cohortes ainsi que le premier Canadien à obtenir cette certification. De telles certifications sont vitales, car la technologie judiciaire n’a commencé à être admissible devant un tribunal au Canada que récemment malgré son acceptation en Europe depuis plusieurs années déjà.

Le tribunal a confiance en la légitimité de la vidéo en partie grâce à la capacité du logiciel à retracer toutes les modifications amenées à l’originale.

Les Services Xpera Imagerie Judiciaire (SXIJ) ont été lancés en mai. L’information que ce type d’analyse judiciaire permet de dénicher est inestimable. De plus, la capacité d’extraction de cette information ne fait qu’augmenter au fur et à mesure que les caméras deviennent plus sophistiquées et plus omniprésentes. « Je peux améliorer la plupart des vidéos », dit Jeffrey. Il est capable d’améliorer considérablement la qualité d’une vidéo, entre autres, par la correction de l’angle, la pixellisation de tiers pour atténuer les risques de plaintes d’atteinte à la vie privée et l’exécution de photogrammétrie pour révéler des mesures telles que la distance ou la grandeur. Le tribunal a confiance en la légitimité de la vidéo en partie grâce à la capacité du logiciel à retracer toutes les modifications amenées à l’originale.

Les clients peuvent faire confiance à la technologie, sachant qu’elle est admissible devant un tribunal au même titre que l’information fournie par les services de police tels que la GRC. De plus, lorsque la vidéo montre une histoire plus exacte, les clients peuvent prendre des décisions plus éclairées. Ils reçoivent un rapport complet détaillant la demande, les corrections apportées, l’information obtenue, toute restriction et le résultat avec les recommandations lorsqu’applicable. Xpera a déjà évité des paiements à un grand détaillant pour un accident de glissade et de chute et a aussi été capable d’identifier un véhicule impliqué dans un délit de fuite.

Si vous avez des preuves photo ou vidéo, Jeffrey peut dénicher de l’information précieuse pour permettre aux clients de gagner du temps et économiser de l’argent. « Une bonne offensive sert de bonne défense », dit Jeffrey. « Je suis content d’apporter ma contribution! »

Contactez Xpera (investigations@xpera.ca) pour de plus amples renseignements ou pour une démonstration fascinante de ce que la technologie SXIJ peut faire pour vous.